Le gluten est la fraction protéique restant après l’extraction de l’amidon du blé. Du mot latin « glu » (colle), il constitue une masse protéique élastique et visqueuse.
Une partie de ces protéines sont les gliadines, responsables de la toxicité du gluten chez les patients atteints de la maladie cœliaque (maladie chronique, empêchant l’absorption des nutriments, des vitamines et des minéraux par l’intestin). Cette maladie grave serait, dit-on sous diagnostiquée. Si la maladie cœliaque se traduit par une inflammation violente du tube digestif, d’un petit nombre de personnes, qui doivent exclure le gluten de leur alimentation, de plus en plus d’experts estiment qu’un grand nombre de personnes seraient affectées par les effets négatifs du gluten se traduisant par une inflammation plus faible.
De même que plusieurs chercheurs incriminent le gluten dans certains cas d’hyperactivité, d’agressivité et d’autisme chez l’enfant, des troubles qui ont pris une ampleur sans précédent dans nos sociétés.
Les intolérances alimentaires créent une inflammation, comme les produits laitiers ou les céréales contenant du gluten, peut donc contribuer à augmenter la fréquence des troubles variés : inflammatoires, allergiques, auto-immuns et psychologiques.
Si l’on ne souffre pas de maladie cœliaque, inflammatoire, allergique, auto-immune, ni de troubles de type anxio-compulsif ou comportemental, il n’est probablement pas indispensable de manger sans gluten🌱
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🌳Prendre soin de vous est un acte d’amour mais aussi un acte citoyen (du monde😉)
Anne-sophie Moreau
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